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Peut-on mourir sans rites ? À propos de l’euthanasie et de la sédation

Dominique Jacquemin & Paulo Rodrigues, "Peut-on mourir sans rites ? À propos de l’euthanasie et de la sédation", Médecine palliative, vol. 17, 2017, pp. 43-49. Dans de nouvelles situations de construction du mourir, comme l’euthanasie et la sédation profonde en fin de vie, émerge, en Belgique, une requête de construction de sens qui se traduit en une demande d’un rite à poser avant l’acte médical de provoquer la mort ou d’annihiler la conscience. En effet, dans les pratiques belges, la demande d’euthanasie, lorsqu’elle est refusée, se voit souvent remplacée par une sédation ; ce qui n’est pas sans induire de la confusion sémantique et clinique. À quoi renvoie ultimement cette demande ? Peut-on mourir sans rites ? Ce sont des questions auxquelles cet article vise à répondre en trois temps : il sera d’abord question des significations du rite lorsqu’il se trouve sollicité avant un acte de sédation ou d’euthanasie (1) ; en un deuxième temps seront explorés les enjeux de la construction du sens dans le temps du mourir (2) ; en un troisième moment, on cherchera à comprendre un au-delà du rite, qui renverrait à l’horizon plus large de la temporalité construite, où des paroles inédites et des gestes personnels pourraient soutenir la construction du sens en situation de fin de vie.Pdf de l'article

interview

Peut-on mourir sans rites ? À propos de l’euthanasie et de la sédation

Dominique Jacquemin & Paulo Rodrigues, "Peut-on mourir sans rites ? À propos de l’euthanasie et de la sédation", Médecine palliative, vol. 17, 2017, pp. 43-49. Dans de nouvelles situations de construction du mourir, comme l’euthanasie et la sédation profonde en fin de vie, émerge, en Belgique, une requête de construction de sens qui se traduit en une demande d’un rite à poser avant l’acte médical de provoquer la mort ou d’annihiler la conscience. En effet, dans les pratiques belges, la demande d’euthanasie, lorsqu’elle est refusée, se voit souvent remplacée par une sédation ; ce qui n’est pas sans induire de la confusion sémantique et clinique. À quoi renvoie ultimement cette demande ? Peut-on mourir sans rites ? Ce sont des questions auxquelles cet article vise à répondre en trois temps : il sera d’abord question des significations du rite lorsqu’il se trouve sollicité avant un acte de sédation ou d’euthanasie (1) ; en un deuxième temps seront explorés les enjeux de la construction du sens dans le temps du mourir (2) ; en un troisième moment, on cherchera à comprendre un au-delà du rite, qui renverrait à l’horizon plus large de la temporalité construite, où des paroles inédites et des gestes personnels pourraient soutenir la construction du sens en situation de fin de vie.Pdf de l'article

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Compte-rendu de colloque

Peut-on mourir sans rites ? À propos de l’euthanasie et de la sédation

Dominique Jacquemin & Paulo Rodrigues, "Peut-on mourir sans rites ? À propos de l’euthanasie et de la sédation", Médecine palliative, vol. 17, 2017, pp. 43-49. Dans de nouvelles situations de construction du mourir, comme l’euthanasie et la sédation profonde en fin de vie, émerge, en Belgique, une requête de construction de sens qui se traduit en une demande d’un rite à poser avant l’acte médical de provoquer la mort ou d’annihiler la conscience. En effet, dans les pratiques belges, la demande d’euthanasie, lorsqu’elle est refusée, se voit souvent remplacée par une sédation ; ce qui n’est pas sans induire de la confusion sémantique et clinique. À quoi renvoie ultimement cette demande ? Peut-on mourir sans rites ? Ce sont des questions auxquelles cet article vise à répondre en trois temps : il sera d’abord question des significations du rite lorsqu’il se trouve sollicité avant un acte de sédation ou d’euthanasie (1) ; en un deuxième temps seront explorés les enjeux de la construction du sens dans le temps du mourir (2) ; en un troisième moment, on cherchera à comprendre un au-delà du rite, qui renverrait à l’horizon plus large de la temporalité construite, où des paroles inédites et des gestes personnels pourraient soutenir la construction du sens en situation de fin de vie.Pdf de l'article

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Peut-on mourir sans rites ? À propos de l’euthanasie et de la sédation

Dominique Jacquemin & Paulo Rodrigues, "Peut-on mourir sans rites ? À propos de l’euthanasie et de la sédation", Médecine palliative, vol. 17, 2017, pp. 43-49. Dans de nouvelles situations de construction du mourir, comme l’euthanasie et la sédation profonde en fin de vie, émerge, en Belgique, une requête de construction de sens qui se traduit en une demande d’un rite à poser avant l’acte médical de provoquer la mort ou d’annihiler la conscience. En effet, dans les pratiques belges, la demande d’euthanasie, lorsqu’elle est refusée, se voit souvent remplacée par une sédation ; ce qui n’est pas sans induire de la confusion sémantique et clinique. À quoi renvoie ultimement cette demande ? Peut-on mourir sans rites ? Ce sont des questions auxquelles cet article vise à répondre en trois temps : il sera d’abord question des significations du rite lorsqu’il se trouve sollicité avant un acte de sédation ou d’euthanasie (1) ; en un deuxième temps seront explorés les enjeux de la construction du sens dans le temps du mourir (2) ; en un troisième moment, on cherchera à comprendre un au-delà du rite, qui renverrait à l’horizon plus large de la temporalité construite, où des paroles inédites et des gestes personnels pourraient soutenir la construction du sens en situation de fin de vie.Pdf de l'article

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Peut-on mourir sans rites ? À propos de l’euthanasie et de la sédation

Dominique Jacquemin & Paulo Rodrigues, "Peut-on mourir sans rites ? À propos de l’euthanasie et de la sédation", Médecine palliative, vol. 17, 2017, pp. 43-49. Dans de nouvelles situations de construction du mourir, comme l’euthanasie et la sédation profonde en fin de vie, émerge, en Belgique, une requête de construction de sens qui se traduit en une demande d’un rite à poser avant l’acte médical de provoquer la mort ou d’annihiler la conscience. En effet, dans les pratiques belges, la demande d’euthanasie, lorsqu’elle est refusée, se voit souvent remplacée par une sédation ; ce qui n’est pas sans induire de la confusion sémantique et clinique. À quoi renvoie ultimement cette demande ? Peut-on mourir sans rites ? Ce sont des questions auxquelles cet article vise à répondre en trois temps : il sera d’abord question des significations du rite lorsqu’il se trouve sollicité avant un acte de sédation ou d’euthanasie (1) ; en un deuxième temps seront explorés les enjeux de la construction du sens dans le temps du mourir (2) ; en un troisième moment, on cherchera à comprendre un au-delà du rite, qui renverrait à l’horizon plus large de la temporalité construite, où des paroles inédites et des gestes personnels pourraient soutenir la construction du sens en situation de fin de vie.Pdf de l'article

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