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Adolphe Gesché

Le corps, chemin de Dieu

La recherche que ce livre recueille prend son départ à la fois dans un étonnement et dans une conviction. Etonnement devant une évidence culturelle à propos du christianisme : celui-ci est réputé véhiculer une solide suspicion concernant le corps, la chair, la sexualité … Etonnement qui devient parfois agacement lorsque judéo-christianisme est posé, dans une évidence jamais critiquée, comme synonyme d’une approche méfiante du corps et de la chair. Etonnement encore car, en même temps, il est incontestable que le christianisme se présente comme une religion d’incarnation. Une conviction aussi : le christianisme recèle une façon originale de situer le corps dans la recherche et la révélation de Dieu, originalité féconde pour une compréhension de nous-mêmes comme être corporels.

Il s’agit donc bien ici d’interroger le corps comme véritable lieu théologique, et même lieu théologique majeur, et de manifester simultanément comment cette place centrale dans la révélation chrétienne de Dieu en fait un lieu anthropologique lui aussi majeur.

L’audace de la foi et de la théologie est une contribution à une anthropologie. C’est pourquoi nous considérons comme essentiel que le travail théologique s’effectue dans un dialogue et une confrontation avec d’autres modes d’approche de la signification de la corporéité. Ces approches (la phénoménologie déjà évoquée, le langage des artistes, les sciences humaines…) contribuent à nous révéler le christianisme dans son originalité et cette redécouverte peut rejaillir à son tour comme une contribution à une anthropologie qui prenne le corps en vraie considération.

interview

Le corps, chemin de Dieu

La recherche que ce livre recueille prend son départ à la fois dans un étonnement et dans une conviction. Etonnement devant une évidence culturelle à propos du christianisme : celui-ci est réputé véhiculer une solide suspicion concernant le corps, la chair, la sexualité … Etonnement qui devient parfois agacement lorsque judéo-christianisme est posé, dans une évidence jamais critiquée, comme synonyme d’une approche méfiante du corps et de la chair. Etonnement encore car, en même temps, il est incontestable que le christianisme se présente comme une religion d’incarnation. Une conviction aussi : le christianisme recèle une façon originale de situer le corps dans la recherche et la révélation de Dieu, originalité féconde pour une compréhension de nous-mêmes comme être corporels.

Il s’agit donc bien ici d’interroger le corps comme véritable lieu théologique, et même lieu théologique majeur, et de manifester simultanément comment cette place centrale dans la révélation chrétienne de Dieu en fait un lieu anthropologique lui aussi majeur.

L’audace de la foi et de la théologie est une contribution à une anthropologie. C’est pourquoi nous considérons comme essentiel que le travail théologique s’effectue dans un dialogue et une confrontation avec d’autres modes d’approche de la signification de la corporéité. Ces approches (la phénoménologie déjà évoquée, le langage des artistes, les sciences humaines…) contribuent à nous révéler le christianisme dans son originalité et cette redécouverte peut rejaillir à son tour comme une contribution à une anthropologie qui prenne le corps en vraie considération.

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Compte-rendu de colloque

Le corps, chemin de Dieu

La recherche que ce livre recueille prend son départ à la fois dans un étonnement et dans une conviction. Etonnement devant une évidence culturelle à propos du christianisme : celui-ci est réputé véhiculer une solide suspicion concernant le corps, la chair, la sexualité … Etonnement qui devient parfois agacement lorsque judéo-christianisme est posé, dans une évidence jamais critiquée, comme synonyme d’une approche méfiante du corps et de la chair. Etonnement encore car, en même temps, il est incontestable que le christianisme se présente comme une religion d’incarnation. Une conviction aussi : le christianisme recèle une façon originale de situer le corps dans la recherche et la révélation de Dieu, originalité féconde pour une compréhension de nous-mêmes comme être corporels.

Il s’agit donc bien ici d’interroger le corps comme véritable lieu théologique, et même lieu théologique majeur, et de manifester simultanément comment cette place centrale dans la révélation chrétienne de Dieu en fait un lieu anthropologique lui aussi majeur.

L’audace de la foi et de la théologie est une contribution à une anthropologie. C’est pourquoi nous considérons comme essentiel que le travail théologique s’effectue dans un dialogue et une confrontation avec d’autres modes d’approche de la signification de la corporéité. Ces approches (la phénoménologie déjà évoquée, le langage des artistes, les sciences humaines…) contribuent à nous révéler le christianisme dans son originalité et cette redécouverte peut rejaillir à son tour comme une contribution à une anthropologie qui prenne le corps en vraie considération.

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Le corps, chemin de Dieu

La recherche que ce livre recueille prend son départ à la fois dans un étonnement et dans une conviction. Etonnement devant une évidence culturelle à propos du christianisme : celui-ci est réputé véhiculer une solide suspicion concernant le corps, la chair, la sexualité … Etonnement qui devient parfois agacement lorsque judéo-christianisme est posé, dans une évidence jamais critiquée, comme synonyme d’une approche méfiante du corps et de la chair. Etonnement encore car, en même temps, il est incontestable que le christianisme se présente comme une religion d’incarnation. Une conviction aussi : le christianisme recèle une façon originale de situer le corps dans la recherche et la révélation de Dieu, originalité féconde pour une compréhension de nous-mêmes comme être corporels.

Il s’agit donc bien ici d’interroger le corps comme véritable lieu théologique, et même lieu théologique majeur, et de manifester simultanément comment cette place centrale dans la révélation chrétienne de Dieu en fait un lieu anthropologique lui aussi majeur.

L’audace de la foi et de la théologie est une contribution à une anthropologie. C’est pourquoi nous considérons comme essentiel que le travail théologique s’effectue dans un dialogue et une confrontation avec d’autres modes d’approche de la signification de la corporéité. Ces approches (la phénoménologie déjà évoquée, le langage des artistes, les sciences humaines…) contribuent à nous révéler le christianisme dans son originalité et cette redécouverte peut rejaillir à son tour comme une contribution à une anthropologie qui prenne le corps en vraie considération.

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Vidéo

Le corps, chemin de Dieu

La recherche que ce livre recueille prend son départ à la fois dans un étonnement et dans une conviction. Etonnement devant une évidence culturelle à propos du christianisme : celui-ci est réputé véhiculer une solide suspicion concernant le corps, la chair, la sexualité … Etonnement qui devient parfois agacement lorsque judéo-christianisme est posé, dans une évidence jamais critiquée, comme synonyme d’une approche méfiante du corps et de la chair. Etonnement encore car, en même temps, il est incontestable que le christianisme se présente comme une religion d’incarnation. Une conviction aussi : le christianisme recèle une façon originale de situer le corps dans la recherche et la révélation de Dieu, originalité féconde pour une compréhension de nous-mêmes comme être corporels.

Il s’agit donc bien ici d’interroger le corps comme véritable lieu théologique, et même lieu théologique majeur, et de manifester simultanément comment cette place centrale dans la révélation chrétienne de Dieu en fait un lieu anthropologique lui aussi majeur.

L’audace de la foi et de la théologie est une contribution à une anthropologie. C’est pourquoi nous considérons comme essentiel que le travail théologique s’effectue dans un dialogue et une confrontation avec d’autres modes d’approche de la signification de la corporéité. Ces approches (la phénoménologie déjà évoquée, le langage des artistes, les sciences humaines…) contribuent à nous révéler le christianisme dans son originalité et cette redécouverte peut rejaillir à son tour comme une contribution à une anthropologie qui prenne le corps en vraie considération.

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La recherche que ce livre recueille prend son départ à la fois dans un étonnement et dans une conviction. Etonnement devant une évidence culturelle à propos du christianisme : celui-ci est réputé véhiculer une solide suspicion concernant le corps, la chair, la sexualité … Etonnement qui devient parfois agacement lorsque judéo-christianisme est posé, dans une évidence jamais critiquée, comme synonyme d’une approche méfiante du corps et de la chair. Etonnement encore car, en même temps, il est incontestable que le christianisme se présente comme une religion d’incarnation. Une conviction aussi : le christianisme recèle une façon originale de situer le corps dans la recherche et la révélation de Dieu, originalité féconde pour une compréhension de nous-mêmes comme être corporels.

Il s’agit donc bien ici d’interroger le corps comme véritable lieu théologique, et même lieu théologique majeur, et de manifester simultanément comment cette place centrale dans la révélation chrétienne de Dieu en fait un lieu anthropologique lui aussi majeur.

L’audace de la foi et de la théologie est une contribution à une anthropologie. C’est pourquoi nous considérons comme essentiel que le travail théologique s’effectue dans un dialogue et une confrontation avec d’autres modes d’approche de la signification de la corporéité. Ces approches (la phénoménologie déjà évoquée, le langage des artistes, les sciences humaines…) contribuent à nous révéler le christianisme dans son originalité et cette redécouverte peut rejaillir à son tour comme une contribution à une anthropologie qui prenne le corps en vraie considération.

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