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Roseline de Romanet

La mort est une affaire spirituelle

L’accompagnement spirituel du patient en fin de vie constitue une dimension essentielle du soin. Il ne s’agit pas d’une tâche facultative. En tout homme réside une dimension spirituelle qui ne se réduit pas à une dimension religieuse. Dans notre contexte français contemporain de société sécularisée, sa prise en compte par les soignants se révèle délicate. Et pourtant, il existe un réel enjeu thérapeutique de la qualité de relation qui s’instaure entre un sujet en soins palliatifs et un soignant, à un moment où le patient vulnérable est confronté à l’ultime questionnement de son existence que constitue l’approche de sa mort. L’accompagnement spirituel réside dans la capacité du soignant à aller à la rencontre de l’autre pour le rejoindre dans son existence.

interview

La mort est une affaire spirituelle

L’accompagnement spirituel du patient en fin de vie constitue une dimension essentielle du soin. Il ne s’agit pas d’une tâche facultative. En tout homme réside une dimension spirituelle qui ne se réduit pas à une dimension religieuse. Dans notre contexte français contemporain de société sécularisée, sa prise en compte par les soignants se révèle délicate. Et pourtant, il existe un réel enjeu thérapeutique de la qualité de relation qui s’instaure entre un sujet en soins palliatifs et un soignant, à un moment où le patient vulnérable est confronté à l’ultime questionnement de son existence que constitue l’approche de sa mort. L’accompagnement spirituel réside dans la capacité du soignant à aller à la rencontre de l’autre pour le rejoindre dans son existence.

Compte-rendu de colloque

La mort est une affaire spirituelle

L’accompagnement spirituel du patient en fin de vie constitue une dimension essentielle du soin. Il ne s’agit pas d’une tâche facultative. En tout homme réside une dimension spirituelle qui ne se réduit pas à une dimension religieuse. Dans notre contexte français contemporain de société sécularisée, sa prise en compte par les soignants se révèle délicate. Et pourtant, il existe un réel enjeu thérapeutique de la qualité de relation qui s’instaure entre un sujet en soins palliatifs et un soignant, à un moment où le patient vulnérable est confronté à l’ultime questionnement de son existence que constitue l’approche de sa mort. L’accompagnement spirituel réside dans la capacité du soignant à aller à la rencontre de l’autre pour le rejoindre dans son existence.

La mort est une affaire spirituelle

L’accompagnement spirituel du patient en fin de vie constitue une dimension essentielle du soin. Il ne s’agit pas d’une tâche facultative. En tout homme réside une dimension spirituelle qui ne se réduit pas à une dimension religieuse. Dans notre contexte français contemporain de société sécularisée, sa prise en compte par les soignants se révèle délicate. Et pourtant, il existe un réel enjeu thérapeutique de la qualité de relation qui s’instaure entre un sujet en soins palliatifs et un soignant, à un moment où le patient vulnérable est confronté à l’ultime questionnement de son existence que constitue l’approche de sa mort. L’accompagnement spirituel réside dans la capacité du soignant à aller à la rencontre de l’autre pour le rejoindre dans son existence.

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La mort est une affaire spirituelle

L’accompagnement spirituel du patient en fin de vie constitue une dimension essentielle du soin. Il ne s’agit pas d’une tâche facultative. En tout homme réside une dimension spirituelle qui ne se réduit pas à une dimension religieuse. Dans notre contexte français contemporain de société sécularisée, sa prise en compte par les soignants se révèle délicate. Et pourtant, il existe un réel enjeu thérapeutique de la qualité de relation qui s’instaure entre un sujet en soins palliatifs et un soignant, à un moment où le patient vulnérable est confronté à l’ultime questionnement de son existence que constitue l’approche de sa mort. L’accompagnement spirituel réside dans la capacité du soignant à aller à la rencontre de l’autre pour le rejoindre dans son existence.

La mort est une affaire spirituelle

L’accompagnement spirituel du patient en fin de vie constitue une dimension essentielle du soin. Il ne s’agit pas d’une tâche facultative. En tout homme réside une dimension spirituelle qui ne se réduit pas à une dimension religieuse. Dans notre contexte français contemporain de société sécularisée, sa prise en compte par les soignants se révèle délicate. Et pourtant, il existe un réel enjeu thérapeutique de la qualité de relation qui s’instaure entre un sujet en soins palliatifs et un soignant, à un moment où le patient vulnérable est confronté à l’ultime questionnement de son existence que constitue l’approche de sa mort. L’accompagnement spirituel réside dans la capacité du soignant à aller à la rencontre de l’autre pour le rejoindre dans son existence.