Notre
collection

La dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation

Sahut d’Izarn M., Chinet T., Guirimand F., dans Médecine Palliative : Soins de Support - Accompagnement – Éthique (Sous presse)RésuméLa dyspnée est un symptôme fréquent dont la prévalence augmente en fin de vie, affectant 40 % des patients en unité de soins palliatifs. Elle est particulièrement fréquente dans les pathologies tumorales, notamment en cas d’atteinte thoracique primitive ou secondaire. Il existe vraisemblablement des dyspnées exclusivement terminales, indépendantes de la pathologie sous-jacente, dont les mécanismes physiopathologiques et la prise en charge sont à distinguer des dyspnées plus précoces. La dyspnée est un symptôme complexe et multidimensionnel, à l’origine d’une souffrance physique, psychique, sociale et spirituelle que l’on peut nommer « dyspnée totale ». Bien que particulièrement invalidant, ce symptôme est trop souvent sous-estimé par les soignants et reste difficile à soulager, notamment en raison de mécanismes physiopathologiques complexes et intriqués. Une évaluation systématique de ce symptôme semble nécessaire à l’amélioration des pratiques. Quand elle est possible, l’autoévaluation doit être privilégiée ; néanmoins, la fréquence des troubles de la vigilance et de la confusion en fin de vie justifie souvent le recours à l’évaluation par un tiers. L’échelle Respiratory Distress Observation Scale (RDOS) est utile dans ces situations. L’American Thoracic Society insiste sur le caractère multidimensionnel de la dyspnée et recommande son évaluation objective et systématique chez les patients atteints d’insuffisance respiratoire ou cardiaque chronique. La fréquence de la dyspnée en fin de vie et son impact en termes de qualité de vie incite à étendre cette recommandation à tout patient en phase terminale de maladie.

interview

La dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation

Sahut d’Izarn M., Chinet T., Guirimand F., dans Médecine Palliative : Soins de Support - Accompagnement – Éthique (Sous presse)RésuméLa dyspnée est un symptôme fréquent dont la prévalence augmente en fin de vie, affectant 40 % des patients en unité de soins palliatifs. Elle est particulièrement fréquente dans les pathologies tumorales, notamment en cas d’atteinte thoracique primitive ou secondaire. Il existe vraisemblablement des dyspnées exclusivement terminales, indépendantes de la pathologie sous-jacente, dont les mécanismes physiopathologiques et la prise en charge sont à distinguer des dyspnées plus précoces. La dyspnée est un symptôme complexe et multidimensionnel, à l’origine d’une souffrance physique, psychique, sociale et spirituelle que l’on peut nommer « dyspnée totale ». Bien que particulièrement invalidant, ce symptôme est trop souvent sous-estimé par les soignants et reste difficile à soulager, notamment en raison de mécanismes physiopathologiques complexes et intriqués. Une évaluation systématique de ce symptôme semble nécessaire à l’amélioration des pratiques. Quand elle est possible, l’autoévaluation doit être privilégiée ; néanmoins, la fréquence des troubles de la vigilance et de la confusion en fin de vie justifie souvent le recours à l’évaluation par un tiers. L’échelle Respiratory Distress Observation Scale (RDOS) est utile dans ces situations. L’American Thoracic Society insiste sur le caractère multidimensionnel de la dyspnée et recommande son évaluation objective et systématique chez les patients atteints d’insuffisance respiratoire ou cardiaque chronique. La fréquence de la dyspnée en fin de vie et son impact en termes de qualité de vie incite à étendre cette recommandation à tout patient en phase terminale de maladie.

Compte-rendu de colloque

La dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation

Sahut d’Izarn M., Chinet T., Guirimand F., dans Médecine Palliative : Soins de Support - Accompagnement – Éthique (Sous presse)RésuméLa dyspnée est un symptôme fréquent dont la prévalence augmente en fin de vie, affectant 40 % des patients en unité de soins palliatifs. Elle est particulièrement fréquente dans les pathologies tumorales, notamment en cas d’atteinte thoracique primitive ou secondaire. Il existe vraisemblablement des dyspnées exclusivement terminales, indépendantes de la pathologie sous-jacente, dont les mécanismes physiopathologiques et la prise en charge sont à distinguer des dyspnées plus précoces. La dyspnée est un symptôme complexe et multidimensionnel, à l’origine d’une souffrance physique, psychique, sociale et spirituelle que l’on peut nommer « dyspnée totale ». Bien que particulièrement invalidant, ce symptôme est trop souvent sous-estimé par les soignants et reste difficile à soulager, notamment en raison de mécanismes physiopathologiques complexes et intriqués. Une évaluation systématique de ce symptôme semble nécessaire à l’amélioration des pratiques. Quand elle est possible, l’autoévaluation doit être privilégiée ; néanmoins, la fréquence des troubles de la vigilance et de la confusion en fin de vie justifie souvent le recours à l’évaluation par un tiers. L’échelle Respiratory Distress Observation Scale (RDOS) est utile dans ces situations. L’American Thoracic Society insiste sur le caractère multidimensionnel de la dyspnée et recommande son évaluation objective et systématique chez les patients atteints d’insuffisance respiratoire ou cardiaque chronique. La fréquence de la dyspnée en fin de vie et son impact en termes de qualité de vie incite à étendre cette recommandation à tout patient en phase terminale de maladie.

La dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation

Sahut d’Izarn M., Chinet T., Guirimand F., dans Médecine Palliative : Soins de Support - Accompagnement – Éthique (Sous presse)RésuméLa dyspnée est un symptôme fréquent dont la prévalence augmente en fin de vie, affectant 40 % des patients en unité de soins palliatifs. Elle est particulièrement fréquente dans les pathologies tumorales, notamment en cas d’atteinte thoracique primitive ou secondaire. Il existe vraisemblablement des dyspnées exclusivement terminales, indépendantes de la pathologie sous-jacente, dont les mécanismes physiopathologiques et la prise en charge sont à distinguer des dyspnées plus précoces. La dyspnée est un symptôme complexe et multidimensionnel, à l’origine d’une souffrance physique, psychique, sociale et spirituelle que l’on peut nommer « dyspnée totale ». Bien que particulièrement invalidant, ce symptôme est trop souvent sous-estimé par les soignants et reste difficile à soulager, notamment en raison de mécanismes physiopathologiques complexes et intriqués. Une évaluation systématique de ce symptôme semble nécessaire à l’amélioration des pratiques. Quand elle est possible, l’autoévaluation doit être privilégiée ; néanmoins, la fréquence des troubles de la vigilance et de la confusion en fin de vie justifie souvent le recours à l’évaluation par un tiers. L’échelle Respiratory Distress Observation Scale (RDOS) est utile dans ces situations. L’American Thoracic Society insiste sur le caractère multidimensionnel de la dyspnée et recommande son évaluation objective et systématique chez les patients atteints d’insuffisance respiratoire ou cardiaque chronique. La fréquence de la dyspnée en fin de vie et son impact en termes de qualité de vie incite à étendre cette recommandation à tout patient en phase terminale de maladie.

Vidéo

La dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation

Sahut d’Izarn M., Chinet T., Guirimand F., dans Médecine Palliative : Soins de Support - Accompagnement – Éthique (Sous presse)RésuméLa dyspnée est un symptôme fréquent dont la prévalence augmente en fin de vie, affectant 40 % des patients en unité de soins palliatifs. Elle est particulièrement fréquente dans les pathologies tumorales, notamment en cas d’atteinte thoracique primitive ou secondaire. Il existe vraisemblablement des dyspnées exclusivement terminales, indépendantes de la pathologie sous-jacente, dont les mécanismes physiopathologiques et la prise en charge sont à distinguer des dyspnées plus précoces. La dyspnée est un symptôme complexe et multidimensionnel, à l’origine d’une souffrance physique, psychique, sociale et spirituelle que l’on peut nommer « dyspnée totale ». Bien que particulièrement invalidant, ce symptôme est trop souvent sous-estimé par les soignants et reste difficile à soulager, notamment en raison de mécanismes physiopathologiques complexes et intriqués. Une évaluation systématique de ce symptôme semble nécessaire à l’amélioration des pratiques. Quand elle est possible, l’autoévaluation doit être privilégiée ; néanmoins, la fréquence des troubles de la vigilance et de la confusion en fin de vie justifie souvent le recours à l’évaluation par un tiers. L’échelle Respiratory Distress Observation Scale (RDOS) est utile dans ces situations. L’American Thoracic Society insiste sur le caractère multidimensionnel de la dyspnée et recommande son évaluation objective et systématique chez les patients atteints d’insuffisance respiratoire ou cardiaque chronique. La fréquence de la dyspnée en fin de vie et son impact en termes de qualité de vie incite à étendre cette recommandation à tout patient en phase terminale de maladie.

La dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation

Sahut d’Izarn M., Chinet T., Guirimand F., dans Médecine Palliative : Soins de Support - Accompagnement – Éthique (Sous presse)RésuméLa dyspnée est un symptôme fréquent dont la prévalence augmente en fin de vie, affectant 40 % des patients en unité de soins palliatifs. Elle est particulièrement fréquente dans les pathologies tumorales, notamment en cas d’atteinte thoracique primitive ou secondaire. Il existe vraisemblablement des dyspnées exclusivement terminales, indépendantes de la pathologie sous-jacente, dont les mécanismes physiopathologiques et la prise en charge sont à distinguer des dyspnées plus précoces. La dyspnée est un symptôme complexe et multidimensionnel, à l’origine d’une souffrance physique, psychique, sociale et spirituelle que l’on peut nommer « dyspnée totale ». Bien que particulièrement invalidant, ce symptôme est trop souvent sous-estimé par les soignants et reste difficile à soulager, notamment en raison de mécanismes physiopathologiques complexes et intriqués. Une évaluation systématique de ce symptôme semble nécessaire à l’amélioration des pratiques. Quand elle est possible, l’autoévaluation doit être privilégiée ; néanmoins, la fréquence des troubles de la vigilance et de la confusion en fin de vie justifie souvent le recours à l’évaluation par un tiers. L’échelle Respiratory Distress Observation Scale (RDOS) est utile dans ces situations. L’American Thoracic Society insiste sur le caractère multidimensionnel de la dyspnée et recommande son évaluation objective et systématique chez les patients atteints d’insuffisance respiratoire ou cardiaque chronique. La fréquence de la dyspnée en fin de vie et son impact en termes de qualité de vie incite à étendre cette recommandation à tout patient en phase terminale de maladie.