Amira – Madame Nieva : Travail sur soi

1. Voir la séquence vidéo

Si vous le souhaitez, vous pouvez télécharger le pdf de progression du module qui vous servira de repère pour voir où vous en êtes dans le module et vous assurer que vous en avez fait le tour.

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2. Décryptage de l'action

Amira est très « empruntée » : Murielle lui transmet la difficulté présumée de la maman et son besoin de prier avec une personne de l’aumônerie. Amira dit qu’elle va s’en charger mais personne ne répond à l’appel. Visiblement, dans cette institution, il n’y a pas de permanence en soirée.

 

En entrant dans la chambre, elle perçoit la difficulté de la mère, a fortiori après ce que Murielle lui a dit. Elle ressent la solitude de la maman face à ce drame.

 

Elle se sent démunie devant le peu d’interaction avec la maman et a l’impression de la couper de son fils ou de ses prières pour son fils. Cela la rend aussi mal à l’aise. Elle s’apprête à quitter la chambre avec ces impressions et ce malaise, puis brusquement décide de faire autre chose : elle va prendre un temps pour rester avec la maman.

 

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3. Théorie : à l'écoute de nos émotions

 

60%

* Où se situe ce contenu?

4a. Exercice : Que vit Amira intérieurement?

4b. Exercice : Que vit Madame Nieva intérieurement?


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5. Rôle du cadre : discussion fictive ?

Imaginons que le.la cadre de cette équipe (médical, infirmier, etc.) soit passé.e dans l’unité en soirée : lui auriez-vous parlé de ce moment de présence silencieuse (et/ou priante) ?

Avez-vous déjà eu l’autorisation explicite en équipe d’être simplement là pour soutenir par votre simple présence un.e patient.e ou ses proches ?

(adaptez la question par rapport à votre profession)

 

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Jacquemin
Jacquemin
15/09/2021 11h57

Bonjour,
Amira et Madame Nieva nous ouvrent à deux questions essentielles: celle de la subjectivité des personnages, tous deux affectés dans leur identité, celle de la maman (et c’est bien normal, tentant de « refaire lien » et non en prière) et celle d’Amira, en souffrance morale (elle ne sait que faire pour bien faire). Mais, l’autre chose qui me frappe, c’est qu’en voulant « bien faire », Amira « passe à côté ». Le module nous ouvre très clairement au statut de l’interprétation et à sa nécessaire vérification dialogale au cœur de la relation de soins. Merci