Solitudes, nuit et jour

Véronique Margron, Paris, Bayard, 2014, 201 p. 

« La solitude est centrale dans l’histoire humaine et en chaque existence. L’humain ne peut vivre et grandir sans solitude. Elle ne surgit pas seulement au moment de l’épreuve ou de la mort mais en toutes circonstances, que l’on vive en couple, avec ses enfants, seul ou en communauté. Mais comment, sans elle, construire son unité, accéder à l’oeuvre continuelle de vérité de soi ? Le goût de solitude est celui d’une intériorité où se recueillir pour exister. »

La théologienne Véronique Margron entreprend avec Claude Plettner un magnifique dialogue sur la place de toutes les solitudes dans nos vies. Elle en traverse aujourd’hui les énigmes, les noirceurs, autant que le meilleur et le nécessaire. Cette méditation contemporaine s’établit dans le souri constant des épreuves que toute personne peut avoir à affronter, et s’appuie, à chaque étape, sur la lecture d’un texte biblique. Jusqu’aux sept dernières paroles du Christ et au bout de la Nuit.